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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 09:14

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"L'argent n'a pas d'importance, mais le manque d'argent, oui."
Jean-François Somain





" Contrairement aux apparences, ceci n'est pas la reproduction d'une (navrante) aventure (parmi tant d'autres) de Gaston Lagaffe sortie de l'imagination (médiocre) d'un (obscur) immigré clandestin Belge !! dénommé André Franquin. Non, ceci représente le très sémillant Eric Vève empruntant un bus Caennais tout ce qu'il y a de plus typique,(beaucoup plus confortable et plus sûr que le pseudo tramway)." 




" Non content d’avoir semé la pagaïe en détournant et/ou en débaptisant les lignes du réseau des Bus, Riri « la Grande Brèle », alias Riton Lagaffe, alias Eric Vève, patron de Viacités et de Twisto, ne veut pas entendre parler de la gratuité des transports pour l’Agglomération Caennaise, il y est même « farouchement » (dixit lui-même) opposé.

 

Normal, quand on est à la fois Maire-Adjoint, Vice-Président de l'Agglo, Conseiller Général, Avocat... et comique de service, et qu’on doit se faire dans les 10 briques par mois, qu’est-ce qu’on en a à foutre du porte-monnaie des autres ?! "

      Par contre, exiger des gueux, précaires et chômeurs qu'ils justifient quatre fois par an auprès du CCAS déjà - débordé - leur état de gueux, précaires et chômeurs, là, le Môssieu, il y est honteusement (dixit moi-même) attaché.


      Ils sont pas mal, les jeunes socialistes  de nos jours...  Beurk !    
  

 

                                      Eddie Torial

 




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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 20:07

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A l’instar de l’année passée, certains commerçants, aficionados du Cid-unati, ont à nouveau ouvert grand et large leurs gueules sur le renouvellement estival piétonnier de la Place Saint-Sauveur. Faut les comprendre.


C’est que, voyez-vous, ils n’ont jamais bougé leurs culs de petzouilles de là où leurs génitrices les ont pondus. Québec, Stockholm, Amsterdam, Prague, Venise, Sienne, Fès, Strasbourg … Rouen, pour ne citer que les villes les plus en vue, ils ne connaissent pas. Ils ne savent pas que, depuis des décennies, celles-ci ont vu le flux de leurs touristes et le chiffre d’affaires de leurs commerçants décupler.

 





En réalité, ils ne souffrent pas que, dans une ville libérée des voitures, le chaland, le badaud, enfin à l’abri du danger omniprésent du trafic automobile, de ses nuisances, ses effets secondaires sur la santé, peut acheter ou baguenauder en toute quiétude en famille ou entre amis.

 




« T’as vu leurs fioles, quand y’a pu d’bagnoles à tous ces crèv’ la gnole ? »


« Faut-y êt’ raciste, pour n’pas saquer nos amis automobilistes fascistes ! » *

 

Ainsi, une dizaine, tout au plus, de culs serrés voudrait priver les 108 000 Caennais d’un peu de bien-être et de qualité de vie retrouvés. Mais, dites donc, leur Président de-ce-que-je-pense, il n’est pas devenu écolo avec l’autre alcoolo de Borloo ? (c’est rigolo, ça rime). Il ne cherche pas à se faire un nouvel ami en la personne de Dany ? Ces pauvres commerçants Caennais qui « perdent du chiffre d’affaires »… la belle affaire ! Et si l’on demandait au fisc de vérifier si tel est le cas ?

 Peut-être qu’après tout, ils ne sont pas doués, ou pas aimables, ou incapables d’un service après-vente digne de ce nom. Peut-être que leurs boutiques - où la moitié des marchandises vient du Maghreb ou de Chine, même les grandes marques y ont leurs ateliers clandestins - sont ringardes, d’un autre siècle. Et ce n’est pas donné ! Logique, c’est réservé aux pétasses qui, entre deux liposuccions et un verre à « Radasse’s Terrasse » situé Place de la République, dévissent leurs gros culs de leurs 4X4 de parvenues pour venir dépenser le-gagné-plus-parce-que-le-mari-a-travaillé-plus ! (Sans compter les généreux reversements opérés par le gouvernement et son bouclier fiscal !) Chiennes !

 

Hormis les personnes à mobilité réduite, comme on dit dans notre pays (hautement) civilisé, les autres qui habitent sur place, les bien-portants, ceux qui aiment se tailler une petite branlette avant de se coucher en admirant leur(s) auto(s) bien sagement garée(s) en bas de chez eux, s’ils veulent du pot d’échappement dans le nez (ou ailleurs)… eh bien qu’ils aillent ailleurs, justement ! Les villes pleines de bagnoles avec des cons dedans, c’est pas ce qui manque, en France ou à l’étranger !

 

Bon, et puis, il va bien falloir qu'un jour la Municipalité décrète une fois pour toutes, ce qui est piétonnier et ce qui ne l’est pas. Parce que là, pour l’instant, on n’y comprend que dalle ! A cela, en sus de panneaux qui défigurent tout, faudrait peut-être installer des plots télescopiques à chaque entrée de rue pour éviter les inciviques, les petits malins, les illégalistes, qui ont décrété une fois pour toutes que rien n’entraverait leur envie de safari dans ces foutues rues piétonnières qui-le-sont-sans-l’être-tout-en-l’étant-quand-même-sans-pour-autant-qu’elles-le-soient-tout-le-temps !


En son temps, Germain de Colandon avait conclu un article sur le même sujet avec cette question : « Ville de Caen… ou villes de cons ? » Aujourd’hui, a-t-il la réponse ? Il n’a rien voulu lâcher. Mais, moi….   

 
                                                                    Cora d’Asse

 

 

* Mouloud, tu repasseras avec ton slam, t’es pas au point !  C.D.

 

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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 13:05

« LES VIEILLARDS SONT ASSEZ ENCLINS A DOTER DE LEUR CHAGRIN L’AVENIR DES JEUNES GENS »
HONORE de BALZAC


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        Fichtre ! « Gay Pride ou Marche des Fiertés et des Libertés », « Manifestation Intersyndicale », « Courses de la Liberté », « Tous à vélo », « Chevauchée des Vaches qui Rient » (dixit Germain de Colandon), organisée par les agriculteurs indépendants, bigotes, calotins, anti IVG à l'ombre de Jeanne d'Arc, « Ceci n’est pas un Festival », de Groland, « Journées Portes ouvertes », au futur ex-régiment de Bretteville sur Odon, concerts, fêtes, kermesses, foires pour tous les goûts, ici, là, feux d’artifice etc., on ne savait plus où donner de la tête dans Caen et alentour ! « On dirait une ville de cent mille habitants ! » m'écriais-je, emporté par la frénésie contagieuse et revigorante, véritable appel d’air.

 

Las ! Le reste du temps, Caen me donne l’impression de n’être parfois qu’un vulgaire gros bourg, quand - arpentant ses rues désertes, tristes, sales, bordées d'immeubles, de maisons, de commerces aux rideaux baissés… pour l’éternité, le tout orné d’un mobilier urbain peu fonctionnel, des plus laids, anxiogène, parce que la poésie, la fantaisie, le rêve, ne font plus partie de notre lot quotidien -, je scrute les têtes renfrognées, je subodore les cœurs lourds des chalands qui, à certaines heures, ne sont pas légion. Où sont-ils les autres ? Que font-ils ? Caen est un mystère.

 

Adonc ! Prenons pour exemple ce fameux Samedi 13 Mai dernier : dix mille demandeurs d’emploi, et «pas la queue d’un » aux manifestations ou aux actions des associations de chômeurs. Probablement autant de Gais et Lesbiennes et pas… Je vous rassure, je ne réutiliserai pas l’expression précédente. Je dirai alors : « pourquoi seulement 700 participants à la Marche ? » Répondez si vous voulez, moi je me moque de la réponse, « parce qu’il est facile de poser la question difficile » écrivait le poète Américain Wystan Hugh Auden.

 

Assurément ! Je pressens que la peu amène - et singulière - dénomination « gros bourg » fera bondir certains. « Malheur à celui qui regimbe où les autres acceptent ; ce n’est pas contre qui les lèse que ces autres se tourneront, c’est contre lui : il les humilie », devisera Henry de Montherlant dans son Fichier Parisien. Je n’ai aucune aspiration à humilier qui que ce soit, sous quelque forme que ce soit. « C’est mon opinion et je la partage ». Avis sans concession d’Henri Monnier, récemment utilisé par mes collègues de la Rédaction du « Caennais déchaîné ».

 

Pourtant ! Chaque année qui passe, chaque mois, chaque jour, ne voit-on pas l’ennui, le découragement, le manque d’ardeur, d’ambition, de foi, inéluctablement s’appesantir sur notre Cité ? Sitôt leurs études terminées, les jeunes émigrent-ils sous d’autres horizons ; sitôt les aides financières absorbées jusqu’au dernier centime et leurs profits encaissés, les entreprises s’éclipsent-elles ; sitôt la Mairie gagnée par la Gauche, la Droite pointe-t-elle son nez vers la prochaine mandature ; sitôt êtes-vous jeune, déjà êtes-vous vieux ; sitôt un secteur est-il à la pointe dans tel ou tel domaine, et de suite on déplore qu’il est obsolète et ignoré ; sitôt la ville est-elle repeuplée, à nouveau on craint qu’elle ne sera désertée par ses habitants pour cause de taxes les asphyxiant… Dois-je poursuivre ? Tendre vers l’inavouable ? Verser dans le licencieux ? Proférer haut et fort ce que secrètement d’aucuns rabâchent : « cette ville a été assassinée en 1944, depuis elle a effectivement été reconstruite, or son âme est restée de cendre » ?  

 

Lors ! Comment procéder ? Comment transformer en profondeur des mentalités enracinées dans leurs erreurs, aveuglées par des convictions, égarées en divagations, persuadées - certaines jusqu’au fanatisme -  que plus rien ne peut, ne doit changer, sinon ce serait admettre que tout au long de ces dernières décennies, elles se sont contentées d’un néant insipide ?

 

Bigre ! Je ne suis pas peu fier de ma question difficile pour laquelle je me moque bien de la réponse… à l’instar de Wystan Hugh Auden ! 

 
                             
                           Luc de Normandie


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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 18:42

"Les villes sont la nature façonnée par l'homme, à son image et à sa ressemblance" Jacques Godbout

Décidément, on ne manque pas d'idées à la Mairie de Caen. L'une des dernières lubies : faire supporter aux Caennais le manque à gagner d'un bailleur privé lorsque son locataire ne peut plus, ou ne veut plus, faire face à ses échéances. Comment ?

En instaurant le (admirez au passage la défense irréprochable de notre belle langue) "Caen Pass-GRL". GRL pour "Garantie des Risques Locatifs".
                                                                                 

L’on voit que ces messieurs-dames, dont l'irrésistible Gai Luron local, Xavier Le Coutour, auteur inspiré et âpre défenseur de l’invention, ne louent jamais leurs propres manoirs, villas, résidences d'été, résidences d'hiver, folies, au tout venant... sinon ils sauraient que, depuis belle lurette, il existe une sorte d'assurance que n'importe quel propriétaire peut contracter à loisir auprès de l'agence immobilière, de l'administrateur de biens, de la gentille compagnie d'assurances ou du non moins philanthropique établissement financier. En règle générale, celle-ci tourne autour des 6% du montant du loyer, théoriquement hors charges.

                                              
Et la Ville de s’engager à rembourser la prime d’assurance durant TROIS ans, sous certaines conditions.
  


Et de couvrir (donc) les impayés, charges comprises, pendant toute la durée du bail ou indemnités d’occupation dues jusqu’au départ de l’indésirable, pardon, du locataire avec un plafond de garantie de 2.300 Euros par mois.
 


Et de supporter les travaux de désinfection, pardon, de remise en état du logement après application d’une franchise égale à UN mois de loyer hors charges, avec plafonnement à concurrence de 7.700 Euros par sinistre et logement.

 

Et d’honorer… les bakchichs, pardon, les honoraires d’huissiers et d’avocats, frais annexes etc.  

Les municipalités précédentes n’ont pas su, ou pas voulu, appréhender le logement comme il le méritait ? On a démoli avant d’avoir reconstruit ? Qu’importe, le contribuable pallie l’incurie des politicards, comme depuis la nuit des temps.

 

Voilà, voilà, voilà.

 

Alors, amis spéculateurs, marchands de sommeil, marchands de biens, groupes immobiliers mafiosi, gros poussahs étouffant sous vos fonds de pension, de retraite, d’investissement, n’hésitez plus une seule seconde ! Notre bonne ville de Caen, récemment, a augmenté ses impôts, rien que pour vous servir sur un plat doré du bon argent bien propre, bien frais, qui ne lui appartient pas, puisque, au risque de me répéter, ce sont les poches des Caennais, riches et pauvres (solidarité inédite), que l’on a trouées pour vous complaire (vous ou d'autres) ! Aussi accourez, achetez, louez, le locataire, qu’il soit digne de foi ou malhonnête, vous sera éternellement reconnaissant.

 

                                                                     Eddie Torial










Nota bene : Que l'on ne se méprenne pas. Bien sûr, nous supportons toute initiative en faveur du logement pour tous. Mais pas en faisant n'importe quoi !

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 10:06

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LES 4X4, CA FAIT VIRIL AU MOINS !!

 

 


Dans le supplément de Caen Magazine de Mai-Juin 2009, consacré au budget de la Ville, trois des Conseillers Municipaux de la pitoyable minorité municipale actuelle - Sonia de la Provôté (d’esprit), Luc Duncombe, Gilles Tonani - hurlent à cor et à cri : « on sert ses amis (en parlant de la Gauche. NDLR) et punit les autres, pour preuve, les grâces et disgrâces financières accordées de façon complètement partiale aux Associations » sic.

 

N’en déplaise au pathétique trio, mais lors de la précédente mandature, exercée par « Bribri » alias Brigitte Le Brethon, à laquelle d’ailleurs Sonia de la Provôté (d’esprit) participait en tant que Maire-Adjoint aux Affaires Scolaires, à la Santé et au Handicap, il avait été octroyé à une Association promouvant… des 4X4 conçus à l’endroit des arrière-trains UMPistes, une subvention d’au moins 4 500 Euros, alors que dans le même temps, « les Enfants Terribles » - Association Caennaise de Gays et de Lesbiennes, axée sur la convivialité, le militantisme, et la prévention contre le Sida - palpait la coquette somme de… 125 Euros ! Pour la petite histoire, les dits Enfants Terribles, pendant de longs mois, se contentèrent, pour tout local, d’un box quelque part au fin fond d’une ancienne carrière sise à Vaucelles.

 

Reconnaissons le bon côté des choses. L’endroit était fort discret, assez bucolique, et légèrement en altitude. Rien de tel, pour y entreposer matériel, archives, affaires, y recevoir des victimes de l’homophobie bon teint régnant dans cette ville ; y conseiller icelles venant glaner quelques astuces sur les méthodes de prévention ; ou bien, au cas où elles eussent failli pour cette dernière,  y répondre à des questions bêtes sur le Sida qui s’attrape si on a le malheur de ne pas faire attention où l’on pose son derrière, tout en sachant qu’il existe d’autres méthodes aussi efficaces, sinon plus, pour gagner le gros lot.



 

BOUH… LE BOURGEOIS MECHANTHOMME !!

 

Dans le genre : « Le sort des Caennais m’intéresse quand je suis à la Mairie, mais je fais n’importe quoi quand je suis au Conseil Général », «Lulu » alias Luc Duncombe n’est pas en reste « ès matière humour ravageur ». Depuis quelque temps, à juste titre il est vrai, il s’insurge, s’indigne, s’émeut, contre la hausse des impôts sur la (bonne ?) ville de Caen. Jusque là, rien à redire. S’il était une chose, où la majorité de gauche avait mieux à faire… c’était justement de ne rien faire qui pût mettre en péril le budget de ses habitants les plus modestes. (http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-29763064.html)

 

Là où le bât blesse, c’est quand Luc Duncombe, Membre de l’Action Sociale et Santé du Conseil Général, raye de la carte du Calvados les RMIstes, et de fait, les prive de leurs indemnités, sous prétexte « que ce sont des fraudeurs, des tricheurs, des truqueurs, des fainéants qui grèvent le budget du Département, des gens qui couillonnent la Société* ». (On dirait une touchante description de la plupart des politiques ! Il a oublié : des incapables. NDLR) Conséquence, grâce à ce noble geste, effectivement le Budget départemental se porte mieux. Sauf que le Centre Communal d’Action Sociale - financé par les impôts des Caennais ! - se voit contraint de payer les factures de ces mauvais français, faute de quoi, de nouveaux SDF (au nombre de 1.700 actuellement), risquent à leur tour de faire tâche dans la riante Cité de Guillaume et Mathilde.

 

En tant que grand bourgeois, et fils de grand bourgeois, Luc Duncombe tend à nous faire regretter ses prédécesseurs des XIXe et XXe siècles qui, sans avoir été d’exemplaires philanthropes, parfois pouvaient s’abandonner à quelque élan compassionnel envers les classes dites « inférieures ». Par ailleurs, il nous a été confié que Luc Duncombe, sous ses airs faussement altruistes et doucereux, était un homme foncièrement réactionnaire, et violent, tout du moins par le verbe. Néanmoins, si l’on résiste encore au joyeux sire et à ses facéties, peut-être que l’on pourrait changer d’avis avec ce qui suit.

 

Au sein même du Conseil Général, il existe une Bourse connue sous le nom de « Bourse Simone et Franck Duncombe » qui, sauf erreur, étaient les heureux parents du petit Lulu, et aussi, probablement les inventeurs de l’initiative qui porte leurs noms. Cette Bourse, ayant vu le jour en 1955, est destinée à aider les jeunes de 18 à 24 ans - lycéens, étudiants… chômeurs, y compris ceux qui ont l’opportunité d’être déjà dans la vie active -, pour un projet qu’ils peuvent réaliser dans tout pays de leur choix. Que Maman et Papa Duncombe en soient éternellement remerciés, mais aussi, que quelqu’un rappelle au Fifils à Papa et à Maman combien ceux-ci faisaient montre d’humanité !

 

Si la gestion municipale de Brigitte Le Brethon n’a pas été exempte de défauts, au moins a-t-elle eu le mérite de nous léguer une ville relativement sociale et humaniste. Aussi, nous pensons qu’il est de notre devoir d’alerter tout un chacun, en clamant haut et fort que Luc Duncombe, aujourd’hui, est un homme dangereux pour la paix sociale dans le Calvados et pour Caen, et mêmement demain, s’il devenait le Maire de cette ville.

 

Pour l’heure, concluons par les bons mots d’un autre pince-sans-rire, Henri de la Tour d’Auvergne, Vicomte de Turenne, Duc de Bouillon : « Tu trembles, carcasse, mais tu tremblerais davantage, si tu savais où je vais te mener ». Vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas été dûment prévenus.

 

                                                                                                                     
                            Germain de Colandon


* Repartie (ba)lancée devant témoins.

                                                                  
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